samedi 16 juin 2012

L'aliénation parentale, un syndrome suspect

L'aliénation parentale, un syndrome suspect

Richard Gardner est un psychiatre et un psychologue, né le 28 avril 1931 dans le Bronx, à New York, et mort le 26 mai 2003.
Il est l'auteur de la théorie du syndrome d'aliénation parentale.



Le prétexte de l'aliénation parentale est souvent utilisé par un parent accusé de viol ou d'agression sexuelle sur son enfant pour s'en disculper.
Certains lobbies prétendent qu'au moment d’un divorce ou d’une séparation, il est fréquent que l’un des parents instrumentalise le ou les enfants du couple pour accabler l’autre parent des pires maux. Cette instrumentalisation porte un nom : "aliénation parentale", deux mots qui agissent comme une massue pour discréditer la parole des enfants et faire passer pour un manipulateur l’un des parents, souvent celui à l’origine de la séparation. Pour comprendre ce qui se joue derrière ce "syndrome", un retour aux sources est nécessaire.

Définition de l’aliénation parentaleL’une des associations qui dénonce l’aliénation parentale la définit ainsi :

"Un parent incapable de gérer la séparation conjugale peut prendre l’enfant en otage dans son conflit. Soumis au chantage psychologique ou à la violence physique, cet enfant va se rallier corps et âme au parent manipulateur jusqu’à devenir captif de son mode de pensée, et rompre tout lien affectif avec son autre parent ainsi qu’avec toute la famille de celui-ci. Prisonnier d’une relation d’emprise, il va tenir des propos insensés, voire même de graves accusations mensongères, en profonde discordance avec la réalité des faits, pour rejeter son autre parent jusqu’à sa destruction psychologique. Ce processus d’emprise et de manipulation s’appelle l’aliénation parentale ."
L’association avance aussi que "tous les enfants dont les parents se séparent" encourent un risque d’aliénation parentale. Ce discours est partagé par les autres groupes constitués autour du même objet.
Comme les "graves accusations mensongères" en question sont des viols ou des agressions sexuelles, une question se pose : si tous les enfants de couples séparés sont potentiellement manipulés, comment prendre en compte leur parole quand ils accusent l’un des parents de violences sexuelles ? Faut-il les croire ou s’en méfier ?
L’idéologie qui sous-tend la théorie du syndrome de l’aliénation parentale est claire : les enfants mentent, aucun crédit ne doit être accordé à leur parole.

Des liens ambigus avec la pédocriminalité

Faut-il s’en étonner quand le père du syndrome d’aliénation parentale, Richard Gardner, intervenait aux États-Unis comme expert privé auprès de clients accusés d’inceste, quand il soutenait que les filles agressées sexuellement sont de meilleures reproductrices et que leur "érotisation précoce" est bénéfique pour l’espèce ?
Richard Gardner est décédé en 2003. Mais d’autres experts ont pris le relais : l’inceste ne serait qu’une relation consentie par une fille pré-pubère incapable de résister aux avances de son père. Hubert Van Gijseghem, psychologue de référence en matière d’aliénation parentale et conférencier à l’École nationale de la magistrature, soutient en effet que "l’inceste peut parfois prendre fin avec l’avènement de la puberté, et cela, à l’instigation d’un des deux partenaires; parfois encore, l’inceste peut se continuer pour une durée indéterminée".
De plus, il faut selon lui arrêter de penser que ces filles sont victimes de leur père. La situation est tout autre : "Elles manipulent [leur père] à leur aise. L’inceste devient pour elles un moyen puissant pour exploiter le père, faire du chantage, s’assurer argent ou faveurs, et, éventuellement, obtenir son incarcération."
Dans cette pensée, l’agresseur sexuel devient un "partenaire", et le viol, une "relation librement consentie".

De la réalité de l’inceste aux dénis de justice

Ce renversement de responsabilité gomme la réalité de l’inceste pour protéger des adultes agresseurs, au détriment de la sécurité des enfants. Or, une enquête récente  indique qu’en France 1 900 000 personnes déclarent avoir été victimes d’inceste (80 % de filles et 20 % de garçons). Cette estimation démontre que les violences sexuelles perpétrées sur des enfants par un membre de leur famille ne sont pas un phénomène marginal et qu’il faut sérieusement les prendre en compte.
Pourtant, au nom de l’aliénation parentale, nous assistons souvent au même scénario : dès la révélation ou la suspicion d’agression sexuelle sur un enfant, le parent suspecté prétexte que le conflit de garde ou de résidence est à l’origine d’allégations mensongères à son encontre. Pour lui, le fait que l'enfant n'ait pas révélé les violences subies avant la séparation suffit à démontrer que l'autre parent le manipule.
Est-il vraiment suspect qu’un enfant n’ose dénoncer un parent agresseur qu’au moment où il en est physiquement éloigné, alors que les adultes eux-mêmes ne dénoncent des faits criminels ou délictueux que lorsqu’ils sont assurés d’être protégés d’éventuelles représailles ? Non. Néanmoins, en dépit de tout bon sens, l’application pratique de la théorie de l’aliénation parentale aboutit à de réels dénis de justice : chaque année, des enfants sont confiés à des parents incestueux, et des parents protecteurs sont emprisonnés pour non-représentation d’enfants. (source : http://suite101.fr/article/lalienation-parentale-un--syndrome--suspect-a15611 )



LA VERITE SUR RICHARD GARDNER ET LE SAP


L'ambition de ce site est de renseigner objectivement les personnes cherchant à s'informer sur le Syndrome d'Aliénation Parentale et son inventeur Richard Gardner.
Les agresseurs ont toujours intérêt à discréditer systématiquement la parole des enfants : cela leur permet de poursuivre leurs exactions en toute tranquillité et en toute impunité...
Il y a moins de 10 ans, on avait déjà vu la déferlante des "fausses allégations" voler au secours des parents incestueux et/ou violents pour leur permettre de se laver des accusations formulées contre eux par leurs enfants.
Aujourd'hui la mode a changé : on ne parle plus tellement de "fausses allégations" mais plutôt de Syndrome d'Alénation Parentale ou d'Aliénation Parentale.
Mais l'objectif est toujours le même : baîllonner les enfants. Empêcher qu'ils s'expriment, qu'ils dénoncent ce qu'ils ont subi, et, s'ils parviennent toutefois à parler, discréditer leur témoignage.
Des personnages peu scrupuleux battent à l'heure actuelle la campagne pour tenter de faire "reconnaître" cette supercherie discréditée depuis longtemps aux Etats-Unis.
Ils luttent de toutes leurs forces et sur tous les terrains : on les voit intervenir sur divers forums, sur Wikipédia (où les deux entrées "SAP" et "Richard Gardner" sont prises d'assaut par leurs défenseurs qui vandalisent systématiquement toute contribution qui toucherait à leur icône et à son "invention"), dans des congrès, sur des sites internet, dans des revues de droit...
Bref : nous sommes en pleine période de propagande.
Il est donc capital de remettre les choses à plat et de se référer aux écrits-même de Gardner, afin de s'en faire une opinion fondée.
Il est important de souligner que toutes les informations référencées ici sont rigoureusement vérifiées et sourcées. Il suffira de se reporter aux références indiquées pour s'en assurer.

Posté par ContreleMensonge à 20:14
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QUI ETAIT REELLEMENT RICHARD GARDNER?

Psychiatre dans le secteur privé, Richard Gardner a toujours prétendu enseigner comme professeur à la faculté de médecine et de chirurgie de l'Université de Columbia.
Après de multiples vérifications, il apparaît que si Richard Gardner disposait bien d'un cabinet de consultations psychiatriques privé, il n'a jamais été salarié de l'Université de Columbia, dans laquelle il n'a jamais exercé.
Richard Gardner était simplement parvenu à s'introduire à la faculté de médecine et de chirurgie de cette université en tant que bénévole : il n'a jamais été recruté par la moindre commission de spécialistes, n'y a jamais enseigné ou publié quoi que ce soit et n'a jamais été payé (source : Hoult Jennifer, The Evidentiary Admissibility of PAS, note 288).
En 1985, Richard Gardner inventait une théorie, le "SAP", "Syndrome d'Aliénation Parentale", et tentait de la faire reconnaître par ses pairs.
N'y parvenant pas, Richard Gardner fondait sa propre maison d'édition, "Creative Therapeutics", afin de publier ses travaux à compte d'auteur. Gardner parvenait par ce biais à donner quelque notoriété à son invention.
Entre 1985 et 2003, date de sa mort, Gardner a ainsi publié une bonne dizaine de livres, tous à compte d'auteur. Aucun d'entre eux n'a jamais été soumis à la moindre évaluation du moindre spécialiste en psychiatrie.
Parallèlement, Richard Gardner publiait des articles dans des revues de droit, c'est-à-dire des revues non dotées d'un comité de re-lecture spécialisé en psychiatrie et devenait expert près les tribunaux. Cette activité d'expert lui a permis de propager son invention auprès des cours de justice, notamment des tribunaux familiaux, et de gagner sa vie.
Le SAP, Syndrome d'Aliénation Parentale, n'ayant aucune validité médicale (il ne repose sur aucun symptôme médical défini ni sur aucune diagnostic précis), a systématiquement été rejeté par la communauté scientifique, médicale et psychiatrique aux Etats-Unis : il n'a donc jamais été référencé dans le DSM (manuel diagnostic de psychatrie aux Etats-Unis).
A l'âge de 72 ans, après une carrière passée à museler les victimes et à incriminer les femmes, Richard Gardner se suicidait d'une vingtaine de coups de couteau dans le ventre (mai 2003).
Sources :
* Hoult Jennifer, "The Evidentiary Admissibility of PAS" (http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam Stephanie, "Le Syndrome d’Aliénation Parentale a-t-il une base empirique ? Examen critique des théories et opinions de R. Gardner" et "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=294 et http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296)
* Emery Robert, "SAP : la charge de la preuve incombe à ses défenseurs" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1715)
* Walker Lenore, "A Critical Analysis of Parental Alienation Syndrome and Its Admissibility in the Family Court" (http://www.ingentaconnect.com/content/haworth/jcc/2004/00000001/00000002/art00003)

Posté par ContreleMensonge à 20:13
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ABSENCE DE FIABILITE SCIENTIFIQUE DU SAP

Dans l'ouvrage "True and False Allegations of Child Sex Abuse", publié à compte d'auteur, Gardner affirme, sans se référer à la moindre étude empirique, que toutes les paraphilies sexuelles humaines (c’est-à-dire les comportements déviants) seraient des mécanismes d’adaptation naturels qui stimuleraient la procréation et augmenteraient donc les chances de survie de l’espèce.
Ainsi, la pédophilie, le sadisme, le viol, la nécrophilie, la zoophilie, la coprophilie et d’autres paraphilies assureraient la survie de l’espèce en stimulant la procréation. Gardner se représentait les hommes comme des donneurs de sperme et les femmes comme des réceptacles à sperme : il prétendait que ces comportements sexuels « atypiques » servent à encourager la production de sperme chez les hommes et ainsi à augmenter les chances d’appareillage avec une personne susceptible de concevoir un enfant. Gardner considérait toute situation dans laquelle une femme devenait un réceptacle à sperme comme une chance de survie pour l’espèce. Il affirmait que les femelles humaines seraient naturellement « passives » et que le viol ou l’inceste résulteraient de cette passivité: il déclarait en effet que la passivité sexuelle des femmes les conduisait à devenir des victimes masochistes de viol, des victimes qui « ressentent du plaisir à être battues, ligotées et soumises à des mauvais traitements », comme si c’était là « le prix qu’elles sont prêtes à payer pour obtenir la gratification de recevoir du sperme » (Gardner, True and False Accusations, note 27, 26).
Il affirmait que l’inceste n’est pas dangereux en soi ; paraphrasant Shakespeare, il ajoutait, « c’est d’y réfléchir qui le rend dangereux ».
Gardner déclarait que les activités sexuelles entre les adultes et les enfants feraient « partie du répertoire naturel de l’activité sexuelle humaine » (Gardner, "True and False Accusations", note 27, 24) et que la sexualité entre adultes et enfants serait une pratique constructive du point de vue de la procréation, la pédophilie permettant selon lui de « charger à bloc » l’enfant, le rendant « hyper sexualisé » et ainsi plus enclin à rechercher des expériences sexuelles qui stimuleront la procréation.
L’analyse de Gardner se concentrant surtout sur les hommes adeptes de paraphilies, il précisait que la sexualité homosexuelle augmente elle aussi les chances de reproduction de l’espèce, malgré le fait que les homosexuels ne pratiquent que rarement la sexualité hétérosexuelle (c’est-à-dire à visée reproductive).
Gardner affirmait que le mal causé par les paraphilies sexuelles ne provenait pas d’elles à proprement parler mais uniquement de la stigmatisation sociale dont elles sont l’objet. Il affirmait que les amateurs de paraphilies méritent d’être respectés et compris.
Sources :
* Hoult Jennifer, "The Evidentiary Admissibility of PAS"(http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam Stephanie, "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296)

Posté par ContreleMensonge à 20:12
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GARDNER ET L'ASSOCIATION NAMBLA

Le point de vue de Gardner sur les relations sexuelles entre adultes et enfants s’aligne sur celui développé par les tenants de la légalisation de la sexualité entre adultes et mineurs et par des groupes pro-pédophiles tels que NAMBLA (North American Man Boy Love Association).
Cette association, créée en 1978, se décrit comme une « organisation politique pour les droits civiques et l’éducation » dont le but est de «mettre fin à l’oppression dont sont victimes les hommes et les garçons qui entretiennent des rapports consentants ». L’association affirme qu’elle « ne s’engage dans aucune activité contraire à la loi, et n’incite personne à l’enfreindre ».
NAMBLA fournit pourtant de la documentation et son soutien aux criminels sexuels emprisonnés, les qualifiant de « personnes indûment incarcérées » pour des « relations amoureuses consenties entre personnes d’âges différents » au lieu de les décrire comme des hommes emprisonnés pour avoir transgressé la loi et causé du mal à des enfants.
Gardner et NAMBLA affirment que les relations sexuelles entre enfants et adultes sont biologiquement naturelles et qu’elles ne sont pas nécessairement mauvaises pour l’enfant : si l’enfant en retire une souffrance, disent-ils, ce n’est pas à cause de la relation en elle-même mais parce que la société stigmatise cette pratique. Selon Gardner « le caractère traumatisant de ces expériences (c’est-à-dire ces rencontres sexuelles entre adultes et enfants) dépend surtout de la réaction de la société face à elle. Il déclarait d’ailleurs :
« De nombreuses sociétés ont été injustement répressives à l’égard de ceux qui ont des tendances sexuelles paraphiles (c’est-à-dire les pédophiles, les violeurs, etc.) et n’ont pas prêté attention aux facteurs génétiques qui peuvent les expliquer. Prendre en considération cette dimension pourrait permettre de mieux tolérer ceux qui ont des penchants sexuels atypiques. J’espère que cette théorie permettra de mieux comprendre et respecter ces individus qui par ailleurs jouent un rôle dans la survie de l’espèce » (Gardner "True and False Accusation", note 27, 670).
Gardner affirmait que les « récidivistes doivent être mis au ban de la société » mais il déclarait aussi qu’ils ne devaient être emprisonnés qu’en cas d’échec de traitement, afin, disait-il, qu’ils ne soient pas incarcérés avec des « criminels de grand chemin » et qu’ils n’aient pas à accomplir des peines de prison interminables (Gardner, "Sex Abuse Hysteria", note 356, 119).
Sur le plan politique, Gardner a activement œuvré pour l’abolition du signalement obligatoire d’agressions sexuelles sur mineurs, pour l’abolition de la garantie de protection pour les professionnels signalant un cas de maltraitance sur enfant, et pour la création de programmes financés au niveau fédéral destinés à aider les personnes se disant victimes de fausses accusations.
L’organisation NAMBLA, tout comme Gardner, affirme que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont normales, saines et bénéfiques pour les enfants.

Les partisans de la pédophilie et les scientifiques qui les soutiennent affirment, en ignorant délibérément les preuves des dégâts causés par la pédophilie sur les enfants des deux sexes, que les enfants ne souffrent pas des contacts sexuels qu’ils peuvent expérimenter avec des adultes; ils disent même que refuser aux enfants ces contacts sexuels revient à bafouer leurs droits.
Gardner et NAMBLA ont donc l’un comme l’autre déclaré que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont sans conséquences pour ces derniers et qu’elles leur sont même bénéfiques. L’un et l’autre disent condamner et détester les conduites d’exploitation et d’agression sexuelles mais aucun ne définit la notion d’agression sexuelle sur enfant.
Le fait que le SAP trouve son origine dans une théorie que l’on peut aisément qualifier de « pro-pédophile » pose quelques soucis pratiques en matière judiciaire et législative.
Les origines et l’utilisation du SAP montrent qu’il est un outil politique et légal inventé et utilisé pour protéger les agresseurs d’enfants de poursuites judiciaires et pour promouvoir leurs contacts sans entrave avec ces enfants au travers d’ordonnances judiciaires leur en attribuant la garde totale.
Le SAP considère que les femmes et les enfants enfreignent les règles du patriarcat lorsqu’ils se permettent de manquer de respect ou lorsqu’ils refusent de faire preuve de respect à l’égard des hommes.
Le SAP présume a priori que toute plainte de violence masculine est nécessairement infondée : ce qui est un déni patent des preuves circonstanciées démontrant que les hommes utilisent plus la violence que les femmes et ressemble à un rappel de la loi patriarcale selon laquelle la violence masculine à l’encontre des femmes et des enfants est légale.
Le SAP condamne les femmes qui font usage de leur droit à agir en justice : ce faisant il réédite la règle patriarcale selon laquelle les femmes sont dépourvues de droits légaux.
Ainsi, il apparaît que les promoteurs du SAP recherchent le moyen de faire intervenir l’Etat afin qu’il prenne des mesures coercitives à l’encontre de femmes et d’enfants, qu’il écoute les doléances d’hommes qui exigent qu’on leur manifeste affection et respect et qu’il protège sans condition les liens entre des criminels sexuels et leurs enfants victimes, en leur en attribuant la garde totale.
Sources :
* Hoult, Jennifer,"The Evidentiary Admissibility of PAS" (http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam, Stephanie, "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296).

Posté par ContreleMensonge à 20:11
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FLORILEGE DE CITATIONS DE RICHARD GARDNER

Pour finir le portrait édifiant de cet individu, voici quelques phrases issues de ses livres..
* "Intrafamilial pedophilia (that is, incest) is widespread and ... is probably an ancient tradition", Gardner, R.A. (1991). Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited .
Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, 119.
=>Traduction : "La pédophilie intra-familiale, c'est-à-dire l'inceste, est répandue et ... est probablement une tradition ancienne".
* "Western society is excessively moralistic and punitive toward pedophiles. The Draconian punishments meted out to pedophiles go far beyond what I consider to be the gravity of the crime." Gardner, R.A. (1991), Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, 118.
=>Traduction : "La société occidentale est excessivement moralisatrice à l'égard des pédophiles. A mes yeux, les punitions draconiennes infligées aux pédophiles vont bien au-delà de la gravité des faits qu'on leur reproche".
* "It is of interest that of all the ancient peoples it may very well be that the Jews were the only ones who were punitive toward pedophiles. Early Christian proscriptions against pedophilia appear to have been derived from the earlier
teachings of the Jews, and our present overreaction to pedophilia represents an exaggeration of Judeo-Christian principles.."(Gardner, R.A. (1992). True and false accusations of child sex abuse, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics pp. 46-7).
=>Traduction : "Il est intéressant de noter que parmi les peuples de l'Antiquité, seuls les Juifs avaient une attitude punitive envers les pédophiles. Chez les premiers chrétiens, l'interdiction de la pédophilie provient directement de l'enseignement du Judaïsme, et notre réaction exagérée envers la pédophilie à l'heure actuelle est une exagération de ces principes judéo-chrétiens.."
* "There is good reason to believe that most, if not all, children have the capacity to reach orgasm at the time they are born." (Gardner, R.A. (1992), True and false accusations of child sex abuse, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. p 15)
=>Traduction: "Nous sommes fondés à croire que la plupart, sinon tous les enfants, ont la capacité d'atteindre un orgasme dès leur naissance".
* "Some children experience high sexual urges in early infancy and the normal child exhibits a wide variety of sexual fantasies and behaviors, many of which would be labeled as `sick' or `perverted' if exhibited by adults" ( Gardner, R.A. (1991, Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, p. 12).
=>Traduction : "Certains enfants expérimentent de puissants désirs sexuels dès le plus jeune âge et l'enfant normal présente une grande variété de fantasmes et comportements sexuels qui seraient taxés de 'pathologiques' ou 'pervers' s'ils étaient le fait d'adultes".
* "The sexually abused child is generally considered to be the victim, though the child may initiate sexual encounters by "seducing" the adult". Gardner, R.A. (1986), "Child Custody Litigation: A Guide for Parents and Mental Health Professionals", Cresskill, NJ : Creative Therapeutics, p 93.
=>Traduction : "L'enfant victime d'agressions sexuelles est généralement tenu pour une victime alors que l'enfant peut perfaitement initier des rencontres sexuelles en 'séduisant' l'adulte".
* "The younger the survival machine at the time sexual urges appear, the longer will be the span of procreative capacity, and the greater the likelihood the individual will create more survival machines in the next generation." Gardner, R. A. (1992), "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, pp.24-5.
=>Traduction : "Plus la machine à survie est jeune au moment de l'apparition des pulsions sexuelles, plus durable sera sa capacité procréatrice et plus grande la probabilité que cet individu engendre d'autres machines à survie dans la génération suivante."
* "Of relevance here is the belief by many of these therapists that a sexual encounter between an adult and a child--no matter how short, no matter how tender, loving, and non-painful--automatically and predictably must be psychologically traumatic to the child". Gardner, R. A. (1992), "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, pp. 670.
=>Traduction : « Il est important de souligner ici que beaucoup de ces thérapeutes croient qu’une rencontre sexuelle entre un adulte et un enfant – même brève, même tendre, aimante et non douloureuse – est automatiquement et immanquablement traumatisante pour l’enfant. ».
* "Her own diminished guilt over masturbation will make it easier for her to encourage the practice in her daughter, if this is warranted. And her increased sexuality may lessen the need for her husband to return to their daughter for sexual gratification."
Gardner, R. A., "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. 1992, p. 585.
=>Traduction (parlant de la mère de l'enfant incestué) : « La réduction de sa culpabilité par rapport à la masturbation l’aidera à encourager cette pratique chez sa fille, au besoin. Et le gain de sexualité de la mère pourrait réduire le besoin qu’éprouve son mari de retourner vers leur fille pour des satisfactions sexuelles. ».
* "He has to be helped to appreciate that, even today, it is a widespread and accepted practice among literally billions of people. He has to appreciate that in our Western society especially, we take a very punitive and moralistic attitude toward such inclinations. He has had a certain amount of bad luck with regard to the place and time he was born with regard to social attitudes toward pedophilia", Gardner R. A., "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. 1992, p. 593.
=>Traduction (parlant du père incestueux): « On doit l’aider à reconnaître que, même aujourd’hui, [la pédophilie] est une pratique largement répandue et acceptée, littéralement, par des milliards de gens. Il doit considérer que, dans notre société occidentale en particulier, nous avons une attitude très punitive et moralisante envers de telles tendances. En fait, il a simplement été quelque peu malchanceux d'être né en ce lieu et en cette époque pour ce qui est des attitudes sociales à l’égard de la pédophilie."
Sources :
* Gardner, Richard, A. (1991) "Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics
* Gardner, Richard, A. (1992) "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics
* Gardner, Richard, A. (1986) "Child Custody Litigation: A Guide for Parents and Mental Health Professionals", Cresskill , NJ : Creative Therapeutics.
Une dernière chose :
diffusez autour de vous les informations que vous trouvez ici.
Il est capital d'ouvrir une brèche dans le discours de promotion de ce personnage et de sa théorie.
Richard Gardner méprisait ouvertement les femmes et faisait la promotion de la sexualité pédophile.
Tous ceux qui reprennent à leur compte le discours et les théories de Gardner doivent savoir ce qu'ils font et de quel côté ils se placent.
Tous ceux qui tentent d'introduire en justice le SAP doivent savoir d'où il provient, et, lorsqu'ils en seront informés, doivent cesser de promouvoir une théorie aussi douteuse et aussi coupablement proche des milieux pédophiles.
Posté par ContreleMensonge à 17:01
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Source : http://contrelesap.canalblog.com/

2 commentaires:

  1. Il faut que ça cesse, ce n'est plus possible
    Ensemble nous devrions pouvoir briser ce cercle infernal

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  2. Ne rêvez-pas, Anonymus ! Tant que la justice restera régalienne et que des magistrats pourront commettre forfaitures et protéger des auteurs de violences « légalement » criminelles, comme dans l’affaire actuelle « Amidlisa », rien ne peut changer !

    Pour que le viol, la pédophilie et le meurtre s’arrêtent il n’existe pas d’autre solution que de rétablir la démocratie. Il n’y a pas d’autre solution que de donner au peuple le pouvoir CONCRET et libre d’entrave, d’envoyer aux assises des magistrats ayant commis des forfaitures, avec les preuves irréfragables de leurs crimes. L’affaire Amidlisa nous enseigne que nous devons créer un Pouvoir citoyen indépendant 3 Pouvoir et du 4ème leur ami que sont les « grands » médias et qui fonctionnent en interdépendance.

    Au constat des centaines d’affaires examinables sur Internet, Tout laisse à penser que l’organisation criminelle est très bien organisée et qu’elle progresse. Ce n’est qu’à l’occasion de prochaines législatives que le peuple pourra désigner des candidats hostiles au laxisme ou à la complicité de nos députés actuels avec le crime organisé.

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